Hier soir, nous avons appris le décès d’un grand homme du mouvement écologiste Québécois, Monsieur Jean Léger.
Jean était dévoué à la protection de l’environnement, et militait activement pour le droit des Premières Nations et le peuple Palestinien. Il était une source d’inspiration pour un grand nombre d’écologistes et pour moi-même. Le niveau de sincérité auquel Jean s’attaquait au problème de la société moderne accompagné d’une détermination et une générosité presque inégalé dans notre mouvement.
Jean Léger était un leader. Il n’a pas hésité à prendre des risques personnels pour le bien commun. Il était dévoué et généreux. Quand il a fermé la valve de l’oléoduc 9B, il a lancé un message clair à la population et à l’ensemble du mouvement disant que les actions directes seront nécessaires dans la lutte contre les changements climatiques.
Quand il a interrompu les premières audiences du BAPE sur Énergie Est, l’opposition à cette consultation bidon à été galvanisé. Le gouvernement libéral n’a pas eu d’autres choix que d’annuler l’ensemble du processus. Quand il a fait annuler la conférence de Jean Charest à McGill, il a fait savoir que le peuple Québécois n’oubliera jamais la corruption et les abus de son gouvernement honteux.
Jean Léger était extrêmement préoccupé par les problèmes environnementaux, sociaux et les nombreuses injustices présentes dans notre société et à travers la planète. Il nous laisse devant de grands défis que nous devons désormais relever sans luit à nos côtés.
La contribution de Jean Léger au mouvement écologiste québécois est gigantesque. Je le considérais comme un ami et je suis sans mots pour décrire ma tristesse devant le nouvelle de son décès. Nous avons maintenant la responsabilité de continuer les mouvements en son honneur.
Solidarité avec Jean Léger et mes plus sincères condoléances à la famille et à ses proches.
Alex Tyrrell
Chef du Parti vert du Québec
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